Houba, Bouvier d’Appenzell, 1ère promenade en liberté

je reve 16 fevrier 2Depuis Lundi, Houba dort dans une grande vari kennel, qu’il a peu de chance de parvenir à détruire ou à retourner. Dans la journée il a droit au grand panier, le même que celui de sa sœur d’adoption, (bleu pour le garçon, rouge pour la fille) le problème est que, à l’instar des humains, « l’herbe est toujours plus verte chez les autres » Savana veut le lit de Houba, ce qui donne de jolis échanges vocaux, car, le marsupilami qui n’est pas d’un caractère particulièrement conciliant, entame un concert de protestation destiné à prendre le quartier à témoin du sans gène de la demoiselle. Savana  tient le territoire occupé, babines retroussées, et rugissements de fauve, ça peut durer de longues minutes. mon joujouMême scénario pour les jouets : la mégère-presque-apprivoisée adore lui piquer pour les planquer dans son lit à elle, ce qui ne manque jamais de déclencher les décibels hurlants. Parfois les combattants s’écroulent dans le même panier, parfois ils sortent transformer les vocalises en partie de catch musclée.

c-la-plage.JPGMercredi matin grande ballade au Grau du roi,  le petit prince noir est bridé avec sa longe derrière lui façon .pêcheur à la traîne. Nous quittons le sentier pour descendre dans la « lande » un espace sablonneux en bordure d’étang avec des pins maritimes  et des joncs. Allez, on ose : on laisse l’oiseau s’envoler : Des odeurs nouvelles, se rouler dans l’herbe, dans le sable, écouter les oiseaux, courir, on rappelle Houba … Savana arrive au galop, le marsupilami sur les talons, félicitations, récompenses, la promenade dure quasiment 2 heures, et nous ne rattachons qu’une fois de retour sur le sentier, dans le dernier virage. (Merci Savana ! tu es en train de devenir un super coach du rappel dynamique) 

suite  Houba, Bouvier d’Appenzell, mardi 26 février

Vous aimerez aussi...