Houba, bouvier d’Appenzell, et les grandes vacances

Finalement ça passe vite un été. Partis en Atlantique Nord pour deux semaines, nous avons confié le Petit Prince Noir et sa damoiselle à «notre» chenil-pas-comme-les-autres. Première séparation pour Houba qui l’a vécue comme une colo : privilège de la jeunesse, le zébulon avait  un accès quasi permanent au terrain de jeux et plein de copines.  Nous avons récupéré les deux compères en pleine forme, un peu trop pour Houba qui avait pris 2 kilos et un peu de « confort » à la taille. Quelques boites de haricots verts mélangés aux croquettes plus tard, et, surtout les grandes ballades matinales reprises, le marsu-ado a retrouvé sa taille de guêpe ou plutôt de frelon, n’exagérons pas !

Bain + Roulade dans la terre =  Chien pané

La canicule aidant, le réveil a sonné à 6 heures un jour sur deux pour que les fauves puissent se dépenser à loisir. Les autres jours nous nous contentions d’une promenade d’une heure maxi, de préférence dans les bois. La sieste obligatoire n’élevant aucune protestation l’après midi. En aout,  famille et amis se sont succédés, l’occasion pour Houba de voler des bisous à tous les 2 pattes qui passaient par la, et de jouer avec les enfants. Môssieur qui est une vraie brute maladroite avec les adultes  (un bulldozer dixit Nièce chérie), se transforme en gentil doudou tout doux avec les petits.

Nous avons encore perdu un joujou insubmersible dans l’étang de Vic et  fais une découverte  grâce au Seaquarium : l’ange de mer vivant sur les fonds sableux et dans les herbiers, supportant les faibles profondeurs et recrachant les proies qui ne lui conviennent pas !? serait-ce lui notre monstre du loch Vic ??

Houba qui ne peut voir d’élément liquide sans sauter à pattes jointes dedans, (Nougat sors de ce corps !)  se méfie de la piscine, mais l’effet combiné des grosses chaleurs, de la supplique des juniors et du jouet flottant adoré l’aident à vaincre ses appréhensions : il apprivoise les marches. Pourtant, bien qu’ayant  brillamment trouvé le chemin du retour à la nage après avoir glissé trois fois, Le marsuplongeur préfère en général remonter les marches à reculons plutôt que de plonger.

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